Ne réalisant pas ce mode d’être, tous les êtres de l’univers sombrent constamment en le grand océan de souffrances du samsara.
On y pense avec pitié et les considère avec compassion.
Parfois on pense que toutes leurs souffrances, leurs causes et leurs fruits, fondent en nous.
Ils sont libérés de la souffrance.
Toutes nos vertus et bonheurs fondant en eux, ils reçoivent, relativement bonheur et joies; et, ultimement ils obtiennent l’état de Bouddha.
Il faut faire encore et encore cette pratique du don et de la prise en charge.
C’est le souverain de tous (les moyens) pour purifier les voiles, la suprême des protections, la cotte de mailles de l’amour, le heaume de la compassion.
Il est dit que la vacuité a pour cœur la compassion.
Étant la cause de (l’état de) Bouddha, sans ce point profond on est sans moyen de le réaliser.
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