Par exemple, si une personne choisit comme objet une image du Bouddha, elle ne méditera pas sur l’image extérieure elle-même. Elle peut regarder l’objet au préalable, ou quand elle commence à se concentrer, mais le véritable objet sur lequel elle méditera sera la représentation mentale qu’elle se fait de cette image. La pensée ou le souvenir d’une image n’est pas un objet . Tandis que si nous pouvons produire dans notre mental une représentation précise de cette image extérieure (qu’il s’agisse d’une représentation du Seigneur Bouddha, d’une divinité, d’une syllabe – akshara – ou d’un point lumineux), ce sera là le véritable objet de notre méditation. Les Sastra disent également que seul le pratibimba dans notre citta – l’image de l’objet dans notre mental, et non celle vue par les yeux ou entendue par les oreilles – doit être considéré comme l’objet véritable.
Déc
12
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