En tentant de s’accrocher à ses biens, sa famille et tout ce qu’on estime être à soi, on se prend constamment dans les rouages du rejet et de l’aversion. On reste prisonnier d’une incessante et fallacieuse tendance qui consiste à tenter d’anéantir nos ennemis et d’éliminer tout ce qui semble menacer ce « moi ». En s’attachant aux apparences de cette vie, on s’enchaîne aux huit préoccupations mondaines que sont le gain et la perte, le renom et la disgrâce, le plaisir et la douleur, la louange et le reproche. Ces espoirs et ces craintes nous ravissent le joyau de l’esprit d’Éveil. Que faire pour triompher de ces bandits ?
Mar
06
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