La pratique sera comme un sauf-conduit au moment de l’expérience douloureuse de la mort. Ici, pour voyager, il faut acheter un billet ou avoir un visa. Au moment de la mort, le visa pour les royaumes supérieurs ou pour la libération ne pourra pas être acheté de la même manière, il sera seulement le résultat de nos pratiques. C’est cela qui nous permettra de traverser les frontières de la mort et de nous diriger vers une sphère d’existence supérieure.
…
Ce sont ces deux visas que nous devons essayer d’avoir sur le passeport de notre esprit : nous affranchir de la peur de la mort par une pratique juste et la confiance dans les trois joyaux, acquérir une richesse spirituelle et nous détacher des biens matériels.
Comments are closed.