Nos saisies sur la réalité des apparences, des sonorités et des pensées sont la maladie qui nous illusionne et nous fait souffrir. Dans la phase de génération, le remède est triple : au niveau des formes, nous méditons sur toutes celles-ci comme étant inséparables de la vacuité, toutes ont la nature d’apparence-vide du corps de Chenrézi. Les sons sont eux aussi inséparables de la vacuité et médités comme ayant la nature de sonorité-vide du mantra de Chenrézi. Et tous les phénomènes de l’esprit, toutes les pensées et intelligences sont médités comme étant la conjonction de l’intelligence et de la vacuité (intelligence-vide), l’esprit de Chenrézi qui est Mahâmudrâ.
Août
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